Le code Rebecca, de Ken FOLLETT

Publié le par Livres Emois Livres et Vous

Le code Rebecca, de Ken FOLLETT
RESUME

1942. Rommel a pris Tobrouk et l’Égypte est sur le point de tomber aux mains des nazis.
Dans le grouillement du Caire où le destin vacille encore, une lutte à mort s’engage entre un espion allemand qui, à l’abri chez sa maîtresse, une voluptueuse danseuse égyptienne, transmet chaque jour des renseignements à Rommel en utilisant un émetteur radio et un exemplaire de Rebecca de Daphné Du Maurier contenant la clef du code.
Un major des services secrets britanniques, lui a pour aide Elen, une jeune juive égyptienne prête à utiliser sa beauté pour combattre les nazis.

Mon Avis

J’ai fait cette lecture dans le cadre de la Lecture Commune de Mai de la chaîne Ilestbiencelivre, dont la consigne était de lire un Ken Follett. Ayant trouvé celui-ci en boîte à livres, je l’ai sorti pour l’occasion… Que dire ?
C’est un polar d’espionnage pas franchement passionnant à lire. Le lancement de l’intrigue est bon, le contexte tout à fait intéressant mais les aventures des personnages sont d’une grande fadeur… la touche de romanesque, qui selon moi, était à l'époque gage de succès (le livre date du début des années 80 je crois), est aujourd'hui très désuète et dépassée. Je ne compte pas le nombre de fois où j'ai levé les yeux au ciel tellement les situations manquaient de crédit et de réalisme.
Je qualifierais ce livre de « polar harlequin » avec juste le bon dosage de castagne, de sexe et de mystère. Vraiment une lecture sans saveur aucune, que je vais vite oublier.
Je pense que l’auteur a fait bien mieux depuis et qu’à l’avenir, je m’attaquerai plutôt à une de ses valeurs sûres. D’ailleurs, dites-moi quel Ken Follett je devrais lire en priorité ?
 

Infos Auteur
Le code Rebecca, de Ken FOLLETT

Ken Follett est né le 5 juin 1949 à Cardiff, c’est un écrivain gallois spécialisé dans les romans d'espionnage et historiques.
Il obtient une licence de philosophie à l'University College de Londres. Après l'université, il travaille en tant que journaliste à Cardiff puis à Londres où il commence à écrire. En 1978, son roman « L'Arme à l'œil » devient un succès de librairie pour lequel il recevra l'année suivante le prix Edgar-Allan-Poe du meilleur roman.
Ken Follett s'exprime avec aisance en français, quoique avec un accent britannique prononcé.
Musicien amateur, il a appris la guitare en autodidacte à l'âge de 14 ans. Il chante et joue de la guitare basse avec le groupe « Damn Right I Got the Blues » qu'il a fondé il y a une vingtaine d'années, et joue occasionnellement une basse de balalaïka avec le groupe de musique folk « Clog Iron ». Il confie se détendre avec la musique dont l'exercice est spontané au contraire de l'écriture. Son groupe de blues rock, dont a fait partie son fils Emanuele, joue pour les galas de bienfaisance du parti travailliste, dont sa femme Barbara Follett a été membre, et a enregistré un titre de « Muddy Waters », « Hoochie Coochie Man ».
Plusieurs des romans historiques de Ken Follett s'appuient sur des recherches et l'utilisation de la trame d'un événement ou d'une période importante de l'histoire, mais l'intrigue prend ensuite quelques libertés avec cette dernière. Les inspirations sont nombreuses : Moyen Âge dans « Les Piliers de la Terre » et « Un monde sans fin », guerres de religion en Europe au xvie siècle dans « Une colonne de feu », xixe siècle dans « La Marque de Windfield », ou révolution iranienne dans « Comme un vol d'aigles ». « La Chute des géants » a lancé une série intitulée « Le Siècle », qui fait passer le lecteur de la Première Guerre mondiale dans le tome I à la Seconde Guerre mondiale dans le tome II baptisé « L'Hiver du monde » et, finalement, le dernier roman de la trilogie, titré « Aux portes de l'éternité », plonge dans l'univers de la  guerre froide.

Publié dans Les déceptions !

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